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Tiwan
24 novembre 2007

O Tahiti E Heiva I Tahiti

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Tahiti
PaysFrance
Polynésie française
ArchipelSociété
Îles du Vent
LocalisationOcéan Pacifique
Superficie1 043 km²
Côtes132 km
Point culminantMont Orohena
2 241 m
Population

Densité
169 674 hab.
(2002)
163 hab./km²

Plage de sable noir

Plage de sable noir

Tahiti est la plus grande île de la Polynésie française, dans le sud de l'océan Pacifique. Elle fait partie des îles du Vent dans l'archipel de la Société.

Tahiti is the largest island in the Windward group of the French Polynesia, located in the archipelago of Society Islands in the southern Pacific Ocean. The island had a population of 169,677 inhabitants according to the 2002 census. This makes it the most populated island of French Polynesia, with 69% of the total population. The capital is Papeete, on the northwest coast. Tahiti has also been historically known as O'tahiti.

Histoire tahiti_logo

Il y a 5 000 ans (3 000 av. J.-C), des habitants du littoral de la Chine du Sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s'installer à Taiwan. Vers 2 000 avant J.-C., des migrations ont lieu de Taiwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Célèbes et Timor et de là, les autres îles de l'archipel indonésien. Vers 1 500 av. J.-C., un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au delà, les îles du Pacifique. Les Austronésiens sont sans doute les premiers navigateurs de l'histoire de l'humanité.

C'est tout d'abord une colonie originaire des Marquises qui s'installa à Tahiti.

Le premier Européen à arriver à Tahiti fut Samuel Wallis le 19 juin 1767.

Géographie Tahiti01

Longue de 45 km à ses points les plus éloignés, elle couvre environ 1 045 km² dont seulement 150 sont habités et exploités. Son plus haut sommet, le mont Orohena, culmine à 2 241 m. Elle se situe grossièrement par 17 degrés sud et 150 degrés ouest. Sa capitale est Papeete , est située sur la côte nord-ouest de l'île. L'île se compose de deux parties centrées sur des volcans éteints et reliées par un court bras de terre, l'isthme de Taravao. La plus grande de ces parties est nommée Tahiti Nui (Grand Tahiti) et l'autre Tahiti Iti (Petit Tahiti). Seule la bande côtière est habitée sur une profondeur qui excède rarement deux kilomètres. Tahiti est l'île la plus peuplée de la Polynésie française, avec 70 % de la population totale. La population de Polynésie française était de 260 338 habitants en 2007. La langue officielle est le français.

Vue de l'île de Moorea depuis la commune de Punaauia.

Vue de l'île de Moorea depuis la commune de Punaauia.

À 15km à l'ouest de Tahiti se situe l'île-sœur Moorea, que l'on aperçoit parfaitement depuis la plupart des communes de l'ouest de Tahiti Nui. De nombreux travailleurs habitent à Moorea et vont travailler à Tahiti en prenant le ferry tous les matins.

Environnement ____tex30tahiti_dinner_in

Tahiti et les autres îles connaissent de graves problèmes de perte de biodiversité liée à l'urbanisation, aux pollutions au manque d'épuration de l'eau, à la surexploitation des ressources halieutiques, mais aussi à l'introduction d'espèces invasives (Ex : Petite fourmi de feu (PFF) importée de Nouvelle-Calédonie qui a commencé a coloniser l'île, sans doute vers 1990 -1995, pour n'être officiellement signalée qu'en juillet 2004 (fait rendu public en octobre 2004. Le Service du développement rural (SDR) de Polynésie française a lors de la saison sèche 2005 bloqué l'explosion pour un an, mais les colonies connues ont repris leur expansion. La Direction de l'Environnement de Polynésie française, aidées par des sociétés privées et Fenua Animalia freinent l'expansion depuis décembre 2006 (5 colonies ont été traitées sur le domaine public, avec des tests d'évaluation de différentes pratiques car malgré l'aide de l'armée, les traitements ne sont pas efficaces à 100%. En juin 2007, au moins 27 colonies sont identifiées sur 6 communes au 27 03 07, à Papeete, Faa'a, Punaauia, Papenoo et Mahina[1]. Deux colonies ont été cartographiées au Pic Vert (Papeete) et Souky (Faa'a)en 2007, mais d'autres existent qu'il faut repérer avec la population).

Communes de Tahiti

Les communes actuelles de Tahiti:

Phare de Mahina 

Phare de Mahina

Elles se répartissent ainsi :

  • En tournant dans le sens horaire autour de Tahiti Nui : Papeete, Pirae, Arue, Mahina, Papenoo, Tiarei, Mahaena, Hitiaa, Faaone, Afaahiti (Taravao), Papeari, Mataeia, Papara, Paea, Punaauia et Faa'a
  • Autour de Tahiti Iti : Afaahiti (Taravao), Pueu, Tautira, Teahupoo, Vairao et Toahotu.

Société

Malgrè l'isolement, Tahiti abrite:

  • Des sociétés internationales américaines et françaises d'aggroalimentaires , de restaurations tel que Carrefour ( 2 : dans les communes de Arue et Punaauia), Champion (répartie dans les îles Sous le vent), Leader Price(Arue et Punaauia), Hyper U (commune de Pirae), ainsi que Mc Donalds ( 3 :dans les communes de Arue, Papeete, et Punaauia.)
  • Il y a aussi des entreprises automobiles tel que Peugeot, Chevrolet, Toyota, BMW, Audi, Volkswagen, Mercedes et RENAULT.
  • Des société d'assurances vie comme AGF, AN SET Assurance, AXA assurance et GAN assurance.
  • La lingerie fine n'est pas mise à l'écart avec les grandes marques internationale comme "Quick Silver","Billabong","Volcom" et "Roxy" en ventes dans les boutiques du centre ville ainsi que dans les principales communes de l'île.

L'île étant en plein développement.

Économie 3Polinesia_Francesa_3dflagsdotcom_frfrp_2fawm

Voir l'article Économie de la Polynésie française

Porte d'entrée de la Polynésie française, Tahiti est l'île la plus visitée par les touristes. En 2004, 193 753 touristes ont visité l'île soit 91,4 % du total des touristes en Polynésie française.

Tahiti est aussi le centre administratif de la Polynésie française.

Transport

Tahiti est desservie par l'aéroport international Tahiti Faa'a, le plus gros aéroport de Polynésie française. Il s'agit en effet du port d'entrée principal pour les touristes mais également les habitants des autres iles de Polynésie française.

Le principal moyen de transport en commun à Papeete et ses environ est une sorte de bus appelé truck, qui est un camion aménagé pour recevoir des passagers comme un autobus. Quelques cars climatisés mieux aménagés permettent de se rendre dans les communes les plus éloignés. A moyen terme les trucks risquent de disparaitre remplacés par des cars climatisés.

Le second moyen de transport en commun courant pour rejoindre Papeete est le bateau. Les habitants de l'ile sœur Moorea prennent régulièrement le ferry ou le catamaran (navette rapide) pour effectuer la traversée. Les sociétés Aremiti et Moorea Express proposent toutes les deux des services concurrents de transports de personnes et marchandises entre Tahiti et Moorea.

Climat pearls

Le climat tropical est chaud et humide toute l'année. L'énorme masse de l'océan qui entoure cette région s'oppose à toute modification drastique de température et d'humidité. Il n'y a donc pas de saisons à Tahiti. C'est donc par abus de langage qu'on parle de deux saisons : la saison sèche et la saison humide ou dite "des pluies" (période cyclonique). En réalité, la pluviométrie est répartie sur toute l'année, bien qu'en quantité il tombe davantage d'eau en moyenne pendant l'été austral. Un facteur légèrement plus caractéristique est l'alternance d'une "saison" chaude et d'une saison "fraiche" (surtout quand souffle l'alizé de Sud Est : Mara'amu). Toutefois la différence de température moyenne entre le mois le plus chaud et le mois le plus froid reste très inférieure à l'amplitude de la température au cours d'une journée. La longueur des journées reste sensiblement la même tout au long de l'année.

Cascade Vaimahuta 

Cascade Vaimahuta

Vaihiria Lac Vaihiria

Pour ce qui est des marées, Tahiti se trouve sur un nœud de résonance de la marée lunaire (point amphidromique) ce qui l'annule donc totalement. Ne reste que la composante de marée due au soleil, qui est beaucoup plus faible et synchronisée avec l'astre en question. Conséquences : 1 le marnage est très faible 2 la marée est toujours basse le matin, haute peu après midi, basse le soir et haute à nouveau au milieu de la nuit. Ce fait très étonnant se trouvent uniquement à Tahiti, près des îles Malouines et en plusieurs endroits au large des îles britanniques (s’il existe d'autres points amphidromiques un peu partout dans les océans, il n'y a pas forcément d'île à ces endroit…).

Surf

Au sud de l'île, vers le petit village de Teahupoo, un récif est propice à la pratique du surf : chaque houle du sud arrive sur ce récif en formant une vague massive et puissante, souvent cylindrique, offrant alors un tube spectaculaire. D'une hauteur variable, de 1,50 m à 9 m par grosse houle, cette vague déferle avec une forte puissance car le récif remonte subitement des fonds océaniens, passant de plusieurs mètres de fond à environ 80cm d'eau. La pratique du surf y est périlleuse. Le 17 août 2000, le surfeur Laird Hamilton prit une vague de 8 mètres de haut. Comme surfeur local sur ce spot, on peut citer Hira Teriinatoofa, Amaury Dehez, Manoa Drollet, Raimana Van Bastolaer et il y avait Malik Joyeux, mort depuis à Hawaii.

Les traditions ____Hin2m_0e4495048ad2b24403599a2a8fbbbcfb

De nombreuses traditions existent au sein de la culture maohi (les maori se trouvant plutôt en Nouvelle-Zélande). Les légendes représentent l'histoire de la culture et l'île renferme de nombreux contes dont certains très populaires comme l'oiseau d'eau (le tefaora).

Le mois de juillet est propice à la découverte de ces traditions puisque de nombreuses manifestations culturelles sont organisées dans le cadre ou en marge du Heiva de Tahiti. La course de pirogue de Hawaiki nui va'a.Le dimanche c'est ma'a Tahiti avec poisson cru lait de coco; poisson frit; fe'i, banane, patate douce et taro cuit à la vapeur avec du miti hue(coeur de coco écraser comme de la puré comme une sauce); poulet fafa; fafaru; poe banane et potiron et du pou'a choux; un vrai régale.

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  • L’otea, danse guerrière de groupe où les danseurs sont disposés en colonnes, accompagnée d’instruments à percussion

  • L’hivinau, danse en cercles accompagnées de tambours et d’un soliste vocal masculin auquel les danseurs répondent en chœur

  • L’aparima, danse en colonnes, danse harmonieuse où les danseurs miment des scènes de la vie quotidienne, cette danse est accompagnée de chants, de guitare et d’ukulele

  • Le pao’a, danse sensuelle en demi-cercle, un couple de danseurs improvise une danse au centre, les danseurs accroupis tapent des mains en cadence

Quant au tamure bien connu, c’est une appellation récente concernant une danse pratiquée en couple actuellement dans les fêtes populaires ou les dancings.

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                                  LE TOERE

   

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Le TOERE est un instrument très caractéristique de l'orchestre Tahitien. D'apparence simple il est le résultat d'un long travail qui va du choix du bois à la préparation de l'instrument : c'est une vraie sculpture. La baguette que l'on utilise doit être suffisamment lourde -souvent en Aito- pour faciliter les roulements et les enchainements rapides. Dans l'orchestre, le toere occupe la place de chef : pahe,  toma , solos...

Originaire des îles Cook, le "toere" est l'instrument de percussion polynésienne par excellence.
Il n'y a cependant pas plus simple comme instrument !

C'est un tambour sans membrane, taillé dans une simple bille de bois de "ati"(le fameux tamanu), de "miro" (bois de rose) ou encore de "pou".

Sa fabrication artisanale demande une bonne maitrise du travail du bois associée à "une bonne oreille".

Il existe plusieurs sortes de "toere" :

Nous retiendrons le "toere hoe" qui est posé debout et avec lequel on joue avec une seule baguette et le "tairi piti" qui est posé horizotalement et qu'on utilise avec deux baguettes.

Bien que "rustique", le "toere" n'en est pas moins un instrument riche en sonorités.

Les couronnes de fleurs  :

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Il est difficile de clore ce dossier sans parler d’une autre grande spécialité locale : la couronne de fleur, et d’une façon générale, la couronne de tête. A Tahiti, par exemple, certains Polynésiens et Polynésiennes portent encore des couronnes de cou et des couronnes de tête. La couronne de tête est devenue un véritable emblème national. Elle est un bijou, au même titre que le collier ou le bracelet en or.

La couronne de tête  :

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Selon l'inspiration ou le goût, leur confection fera appel à toutes les plantes, feuilles et fleurs du jardin. Le mariage des formes, des couleurs et des odeurs ainsi réunies, fait des couronnes d'une surprenante beauté. Une oeuvre d'art éphémère, star d'un jour, qui fanera le lendemain. Afin de conserver les fleurs, les mamas humidifiaient les compositons, qu'elles enveloppent dans un papier journal et qu'elles déposent dans le bac à légumes du frigidaire. Le lendemain, les fleurs paraîtront fraîches.

Le tifaifai

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Dans de nombreuses maisons polynésiennes, le Tifaifai est devenu une pièce maîtresse de la décoration polynésienne.

Patchwork de tissus, tantôt aux motifs géométriques, tantôt orné de fleurs et de feuilles, ses formes et ses couleurs expriment la nature et la vie quotidienne de l’archipel. Il est le fruit de longues heures d’un patient travail de conception, de préparation et de couture. 

L’histoire du tifaifai remonte au XVIIIème siècle. Le patchwork, plus particulièrement le kilt, est introduit en Polynésie française par les femmes des premiers missionnaires protestants américains, qui l’enseignent d’abord aux femmes de la haute société polynésienne. « Dans la langue polynésienne, le mot tifaifai vient du verbe tifai qui signifie raccommoder, rapiécer », explique Yvonne Bellais, qui a participé à la rédaction technique du seul ouvrage portant sur le tifaifai.

Elle se souvient : « lorsque j’étais petite, ma grand-mère me racontait que c’était la femme du pasteur Pratt qui a introduit le patchwork sur l’île de Tubuai. Elle a d’abord appris aux mères et aux grands-mères : les mamas, comment rapiécer les vêtements et utiliser les chutes pour en faire une couverture. Le tissu coûtait cher, il ne fallait donc pas le gaspiller.

Depuis, la technique s’est répandue dans toutes les familles et dans la plupart des îles. On le retrouve dans les divers archipels océaniens, notamment aux îles Cook et à Hawaii, sous des appellations différentes. »

Bien avant l'arrivée des Européens, les Polynésiens fabriquaient un tissu végétal que l'on appelle tapa avec des écorces d'arbre. Lorsque le tapa a été remplacé par le calicot, ils se sont donc naturellement appropriés le patchwork. Au fil des années, le tefaifai est devenu l'un des symboles les plus marquants de l'artisanat polynésien.

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Un cadeau traditionnel

On offre traditionnellement un tifaifai lors de grandes occasions, comme un mariage ou une naissance. Par exemple, à l'occasion de la visite du président de la République sur le territoire en juillet 2003, Bernadette Chirac a reçu un tifaifai en mosaïque, aux ramages géométriques et aux couleurs chatoyantes en cadeau de bienvenu. Il sert à couvrir les oreillers, le lit et parfois à tapisser les murs des maisons.

Les motifs


Autrefois, les mamas recherchaient principalement leur inspiration dans la nature. Parmi la multitude de dessins de fruits et de fleurs : ananas, hibiscus, fougères, feuille de l’arbre à pain ainsi que la fameuse tiare Tahiti, emblème de la Polynésie française. Une fois cette technique d’assemblage acquise, les artisans polynésiens ont laissé libre court à leur imagination et à leur créativité.

Les motifs s’enrichissent et on voit apparaître de nouveaux dessins originaux et figuratifs, avec des tatouages polynésiens. Certaines couturières vont jusqu’à raconter leur histoire ou celle de leur île sous différentes coutures.

Il existe deux types de Tifaifai en Polynésie :

Le tifaifai pû

Que l’on peut traduire par patchwork en mosaïque et le tifaifai pa’oti ou tifaifai tapiri que l’on traduit par patchwork en applique.

Le tifaifai pû reprend les bases principales du patchwork, qui consiste à l’assemblage de morceaux de tissu de formes et de couleurs différentes. En général, le patchwork en mosaïque est confectionné par un groupe de deux à cinq mamas, et parfois plus. Elles s’activent à coudre des petits morceaux d’étoffe jusqu’à réaliser une couverture aux ramages géométriques, représentant notamment une rose des vents ou des étoiles.

Le patchwork en applique est typique à la Polynésie française. Il est également appelé tifaifai pa’oti ou tifaifai tapiri par les mamas polynésienne. Le mot pa’oti signifie « couper » et désigne également une paire de ciseaux. Quant au terme, tapiri, il peut être traduit par « applique ».


Le tifaifai pa’oti ou tifaifai tapiri

Il faut toutefois faire attention dans le choix de la matière : éviter les textiles extensibles et ceux qui déteignent au lavage.

L’utilisation d’une machine à coudre peut permettre de gagner du temps, mais la finition se fait toujours à la main. Par ailleurs, les amateurs préfèrent toujours un drap cousu main à un drap cousu à la machine.

De nos jours, par soucis d’économie ou par goût pour la couture, ils préfèrent acheter le tifaifai assemblé et bâti. Il coûtera trois à quatre fois moins cher qu’un produit fini. Monté, il coûte entre 5 000 et 10 000 francs pacifique alors que le prix d’un drap fini varie entre 30 000 et peut atteindre 120 000 francs Pacifique.

livres à lire dans contes et légendes :

Contes de Tahiti - Martine Dorra - éditeur : Syros - ISBN : 274-850366-x - année 2005 (publication destinée à la jeunesse) - 4,90 €

Légendes tahitiennes - Présentées et traduites par Louise PELTZER - éditeur : Fleuve et flamme (Collection du Conseil International de la langue Française) - Textes bilingues - ISBN : -85319-152-4 - année 1985 - en occasion à 11 €

Contes du Pacifique - Henri Gougaud - illustré par Laura Rosano - Editeur Seuil - ISBN : 2-02-030701-4 - année 2000 - 12,95 €

Fa'a'amu, le petit secret de la nuit - R. M. Galliez et N. Bernier  Editeur : Au vent des îles - 2004 - 11 €

La gardienne des tortues, trois histoires de Polynésie - Martine Dorra - Editeur : Syros Jeunesse - 2005 - ISBN : 2-74-850382-1- 4,90 €

Les jumeaux du Temehari - Odette Teipoite Marama Frogier, illustrations de Huren - Editeur : Au vent des îles, Tahiti - ISBN : 2-909790-90-8 - 14,50 €

Taourama et le lagon bleu - J. Teisson - Editeur : Syros Jeunesse - ISBN : 2-748504-55-0 - 4,90 € (roman)   (Maururu Diablo...)

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